Bakole

Les "sans-histoires" de Bakole

Accueillir des enfants abandonnés qui n'auraient d'autre issue que la rue : tel est l'objectif de notre partenaire, l'association "Bana Ya Kivuvu".

Bana Ya Kivuvu, cela veut dire "les enfants de l'espoir"...

Un  projet Ticket-Repas, à Kinshasa, en République Démocratique du Congo.

 

D'où viennent ces enfants ?

Les 18 petits "sans-histoires" de Bakole s'appellent André, Freddy, Antoine, Rachel ou Sarah.
Ils sont arrivés un jour à Bakole...

De leur histoire, on ne sait rien ou presque.
Eux seuls sont les témoins, trop petits, de leurs premières souffrances.

De leur passé, il ne reste que des souvenirs qui hantent leur quotidien, des séquelles ou troubles du comportement : une terreur profonde quand une porte claque, de sombres cauchemars nuit après nuit, ou des pipi au lit...

Hélène responsable de l'association "Bana Ya Kivuvu", raconte :

"Pour la dernière arrivée, ça s'est passé comme ça : le bureau des affaires sociales m'a appelée : on venait de leur apporter un bébé de deux jours, abandonné. C’était une fille. Ils n’avaient ni eau ni lait à lui donner et elle criait dans leur bureau…. Nous l'avons  prise à Bakole." 

"Pour André, c’est un peu différent ; il a d’abord été accueilli dans un centre de soins. On sait juste que sa maman est morte pendant les fortes inondations de l’année dernière. Son papa n’a jamais été retrouvé et personne dans son entourage n’a voulu ou pu le garder."

 

Comme dans une famille !

Tous ces enfants ont besoin d’amour, d’éducation, d’un foyer que leurs parents n’ont pu ou su leur donner.

Ils ont besoin de quelqu'un pour les accompagner à l'école, puis aller les chercher. De quelqu'un pour les pousser à la balançoire aussi, chacun leur tour !

Veil et Jolie, responsables du centre d'accueil déclarent humblement : "Nous ne faisons rien de plus que ce que font tous les parents".  

Mais, être parents de 18 petits cœurs blessés et abandonnés, c'est un travail énorme qui demande beaucoup de tendresse et d’attention.

Sans le travail de Veil et Jolie, les petits « sans-histoires » de Bakole seraient dans la rue.

Ils vivraient la violence et l’angoisse, la faim, la solitude et la peur. Ils ne seraient déjà plus des enfants…

 

A quoi servira votre aide ?

72 personnes se sont engagées à verser 17 euros par mois pour financer :

- le budget alimentaire de cette grande famille
- le salaire des 2 cuisinières
- une indemnité pour le couple des parents, Veil et Jolie

Ce soutien encourage Veil et Jolie dans le formidable travail qu’ils effectuent au quotidien.

Il leur dit : « Continuez, ne laissez pas ces enfants vivre dans la rue : nous sommes là, derrière vous ».


FAQ sur le Soutien alimentaire